Pierre-Isaïe Duc a interviewé les camarades se trouvant sur sa première photo de classe. Une photo de première enfantine prise en 1971 devant l’école primaire de son village natal. De ces rencontres émergent des récits poignants. Des fragments de vie, d’amour, de mort, d’amitié, des souvenirs, tantôt tristes, tantôt joyeux, tantôt cocasses, tantôt étranges, parfois douloureux, parfois troublants. Ces mots tentent de retracer le destin d’un groupe d’enfants nés au même endroit, ayant partagé une décennie ensemble et qui, près de cinquante ans plus tard, se connaissent encore. Des poèmes de vies ordinaires, mais universels dans l’expérience humaine qu’ils capturent.

Lors de la représentation du jeudi 24 octobre, une interprétation en langue des signes est proposée par l’association « Ecoute Voir ».